Un service public local inauguré

C’est en présence de la Sous-Préféte de Sarlat, du Président du Conseil Général, du Maire de Sarlat et de nombreux élus locaux que la cuisine municipale vient d’être inaugurée. Un service public local de qualité qui marque la volonté de la collectivité d’assurer elle-même la production des repas pour les enfants de Sarlat.

 La nécessité de rationaliser la confection des repas afin de permettre d’en améliorer la qualité ; le souhait de conforter la sécurité alimentaire et de répondre aux exigences sanitaires ; l’engagement de renforcer la traçabilité des produits en ayant recours à des produits frais locaux… autant d’arguments essentiels qui auront présidé à cet investissement important. Sans oublier, ainsi que l’a rappelé Jean-Jacques de Peretti, « la volonté de doter le territoire sarladais d’un équipement répondant à l’attente de nombreuses structures : les établissements scolaires bien entendu, mais aussi le Centre Intercommunal d’Action Sociale pour le portage des repas à domicile des personnes âgées, la Maison de Retraite ou encore l’APAJH qui accueille des personnes handicapées ».

 « La commune de Sarlat est parvenue à réaliser avec le concours d’entreprises locales performantes un équipement de haut niveau comme j’en ai rarement visité » s’est félicité la Sous- Préfete.

Installée sur un terrain communal, la cuisine s’étend sur une surface de 585 m², produit 1 000 repas par jour avec la possibilité de passer à 1 200 repas sans modification structurelle.

 « Nous avions à cœur d’offrir aux familles et aux enfants de Sarlat un service public répondant à leur légitime attente et à notre priorité donnée à l’éducation et à l’enfance » a souligné le Maire de Sarlat. « En effet, avec près de 20 % du budget (soit 2,8 millions d’euros annuels), l’éducation est le premier poste municipal. Si l’on ajoute à cela la mise en place des nouveaux rythmes scolaires, chacun aura compris combien la jeunesse tient une place importante dans l’action que nous conduisons au service des sarladaises et des sarladais » a conclu Jean-Jacques de Peretti.

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